(Abécédaire) Lexique de
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Le président John F. Kennedy, a averti des dangers du secret inutiles et les sociétés secrètes comme les Skull and Bones , le Council on Foreign Relations , et le Groupe de Bilderberg ..... «Très» Le mot secret est répugnant dans une société libre et ouverte, et nous sommes en tant que peuple intrinsèquement et historiquement opposés aux sociétés secrètes, aux serments secrets, et à une procédure secrète », de dire monsieur Kennedy dans un discours de 1961 à la presse américaine Publishers Association.
Preuves et PREUVES.... que des PREUVES
Dans le livre * * Jugement final par Michael Collins Piper, vous trouverez une
story about DeWest Hooker. histoire DeWest Hooker. Hooker was a good friend of both Joseph Kennedy Hooker était un bon ami des deux Joseph Kennedy
and George Lincoln Rockwell, Commander of the American Nazi Party. Lincoln Rockwell et George, commandant du Parti nazi américain. Piper Cornemuseur
tells of the arrangement made with Hooker and Rockwell to help JFK get raconte l'arrangement conclu avec Hooker et Rockwell pour aider à obtenir JFK
elected. élus. Hooker said, "Frankly, as far as I'm concerned, it was my work Hooker a déclaré: «Franchement, en ce qui me concerne, il a été mon travail
that got Johnny Kennedy in the White House." I suggest you read the book, qui a obtenu Johnny Kennedy à la Maison Blanche.
Et comme Kennedy comprenait que Londres dominait tout, on l'a éliminé!
TUÉS POUR LEURS IDÉES FRATERNELLES
LA CONNEXION KENNEDY-nazi
Probablement que Londres craignait que JFK dénonce Londres et même son père....
Hormis ces banques privées, l’internationale synarchiste avait à sa disposition un instrument de choix pour la mise en place des cartels : la Banque des règlements internationaux (BRI) sise à Bâle. Depuis sa création, et jusqu’à aujourd’hui, on la surnomme la « banque des banquiers ». En opposition à la conception du système américain de banque nationale, la BRI repose sur le modèle anglo-hollandais de banque centrale échappant au contrôle des Etats-nations souverains.
Parmi les directeurs de la BRI (et donc avec la complicité des présidents américains successifs, dont Thomas McKittrick pendant la Deuxième Guerre mondiale), figuraient Harman Schmitz, directeur d’IG Farben, le baron Kurt von Schröder, directeur de la JH Stein Bank de Cologne et principal financier de la Gestapo et de la Brigade Tête de Mort, Walther Funk, de la Reichsbank, et l’économiste nazi Emil Puhl, les deux derniers ayant été personnellement nommés au conseil d’administration par Hitler.
Les fonds américains et britanniques destinés à soutenir l’accession d’Hitler au pouvoir et à financer, par la suite, sa machine de guerre, transitaient par la BRI. Avant 1940, celle-ci avait investi des millions de dollars en Allemagne, tandis que Kurt von Schröder et Emil Puhl, de leur côté, avaient déposé d’importantes quantités d’or à la BRI, sommes utilisées après la guerre pour financer les « rat-lines » (référence aux lignes du mât d’un navire qui coule, sur lesquelles les rats tentent de fuir). Grâce à ces filières, des nazis et leurs collaborateurs pourront s’échapper d’Europe pour se réfugier en Amérique du Sud et au Moyen-Orient.
Malgré l’importance de la BRI pour Hitler, la Grande-Bretagne ne s’opposa pas aux activités de la banque, même après la décision britannique d’entrer en guerre contre l’Allemagne. Sir Otto Niemeyer et Montagu Norman, respectivement directeur et PDG britanniques, conservèrent leur poste tout au long de la guerre.
Qui créent des guerres? Et bien les gens entraînés à la guerre!
Maudits militaires: ils sont des dangers pour nous tous!
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