(Abécédaire) Lexique de
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La grippe aviaire, l'ANTHRAX...... sont des stratégies britanniques pour intimider et matter les populations mondiales......
Ils contaminent les gens et certaines populations qu’ils choisissent de réduire et d’obliger à eux en faisant semblant de les soigner… mais ces populations deviennent dépendantes de ceux qui ont détraqués leurs systèmes nerveux.
Les populations sont des cobayes pour les chercheurs militaires.
En 1943 et 1944, les Etats-Unis d’Amérique avaient déjà étudié douze mille produits chimiques et en avaient sélectionné sept mille comme possibles armes de guerre… d’ailleurs, en 1945, un crime prémédité contre l’humanité est étudié en vue de détruire les rizières autour des grandes villes du Japon. Ces produits chimiques étaient les précurseurs des Agents chimiques utilisés au Viêt-nam.
La secte des « élites » n'a fait nul secret de son désir de diminuer la population mondiale. (Voir Alan Stang, Population Extermination : How Will it be Done ?l (L’extermination de la population : Comment la fera-t-on ?
« Pour gouverner avec succès, il est nécessaire de multiplier tellement les défauts du peuple, les habitudes, les passions, les règles de la vie en commun que personne ne puisse débrouiller ce chaos, et que les hommes arrivent à ne plus se comprendre entre eux … jeter la discorde dans les partis …. Désunir toutes les forces collectives. » Extraits tirés du document « Protocoles des Sages de Sion »
« Vous savez que nous pouvons le faire butter ou le rendre invalide, qu’en tant que Ministre, nos AGENTS Secrets sont partout et sans scrupules… » dit un Ministre à…
Les plus grands empoisonneurs du siècle sont les militaires.
La menace militaire est sur tous.
Ils guerroyaient en rendant malades, en coupant les vivres, en empoisonnant des population entières.
L’apparition de grandes épidémies n’est pas étrangère à la nature insalubre des Villes d’autrefois et à l’alimentation carnée chez l’humain fruito-végétarien, et même à des choix de Pouvoirs et de Gouvernes tel d’éliminer des gens et des populations donnés par tous les moyens : que ce soit par des guerres ou en les empoisonnant ou les rendant malades.
Le sujet de la grippe espagnole a surgi dans le contexte d'une discussion sur le typhus. Mueller a dit que les nazis avait délibérément introduit le typhus dans les camps de prisonniers de guerre russes et, avec la famine, il a tué environ trois millions d'hommes. Le typhus a été propagé à Auschwitz et dans d'autres camps de concentration avec des prisonniers de guerre russe et polonais.
James Kronthal, l'interrogateur, chef de la station de
Mueller : « Je ne suis pas médecin, vous comprenez, mais le « double coup » se rapportait à un virus, ou en fait à une paire de virus qui œuvraient en combattants professionnels. Le premier coup attaquait le système immunitaire et rendait la victime sensible, et ainsi condamnée au deuxième coup qui était une forme de pneumonie… [Schreiber m'a dit] qu'un scientifique britannique l'avait réellement développée… Maintenant vous voyez pourquoi de telles choses sont folie. Ces choses peuvent se modifier elles-mêmes et ce qui commence comme une chose limitée peut se changer en quelque chose de vraiment terrible. »
On sait aujourd’hui que la grippe espagnole a été provoquée par une souche H1N1 particulièrement virulente et contagieuse.
En 1948, Heinrich Mueller, l'ancien chef de
Il se référait à la pandémie de grippe de 1918-1919 qui infecta 20% de la population mondiale et tua entre 60 et 100 millions de gens. C’est en gros, trois fois autant que les morts et blessés de
Il dit qu'elle « s’est libérée du contrôle », mais nous devons tenir compte de la possibilité horrible que « la grippe espagnole » était une mesure de dépopulation délibérée de l'élite, et qu'elle pourrait être utilisée encore. Les chercheurs ont trouvé des liens entre elle et l’actuelle « grippe aviaire ».
Il n'y avait rien « d’espagnol » dans cette grippe.
« Aux USA, environ 28% de la population en ont souffert, et 500.000 à 675.000 personnes en sont mortes. 200.000 en sont mortes en Grande-Bretagne ; plus de 400.000 en France. Des villages entiers ont péri en Alaska et en Afrique australe. En Australie 10.000 personnes environ sont mortes. Aux Îles Fidji, 14% de la population est morte en seulement deux semaines et 22% aux Samoa occidentales. 17 millions environ sont morts en Inde, soit à peu près 5% de la population de l’époque. Dans l'armée indienne, pratiquement 22% des troupes ont attrapé la maladie et en sont morts. »
« En fait, les symptômes en 1918 étaient si peu communs qu'au début la grippe a été diagnostiquée comme de la dengue, du choléra, ou de la typhoïde. Un observateur a écrit, « L’une des plus dramatiques complications était l’hémorragie des membranes muqueuses, particulièrement du nez, de l'estomac, et de l'intestin. Des saignements d’oreilles et des hémorragies pétéchiales de la peau se sont également produites.
… Une autre caractéristique peu commune de cette pandémie est qu’elle tuait la plupart du temps des jeunes adultes, avec 99% des décès chez les moins de 65 ans [2], dont plus de la moitié chez les jeunes adultes de 20 à 40 ans. C'est peu commun puisque la grippe est normalement plus mortelle chez les très jeunes (moins de deux ans) et chez les très vieux (plus de 70 ans). »
La source de Mueller
Lors d’une conférence nazie à Berlin en 1944 à propos de la guerre bactériologique, le Général Walter Schreiber, Chef du Corps Médical de l'armée allemande, a dit à Mueller qu'il avait passé deux mois aux USA en 1927 à s’entretenir avec ses homologues. Ils lui ont dit que le « soi-disant double coup viral » (c’est-à-dire la grippe espagnole) a été développé et utilisé pendant la guerre de 1914.
« Mais, » selon Mueller, « elle est devenue hors contrôle et, au lieu de tuer les allemands qui s'étaient rendus à l’époque [3], elle est revenu sur eux, et sur presque tous les autres. ». Extrait de « Gestapo Chief : The Interrogation of Heinrich Mueller » (Chef de
Ils contaminent les gens et certaines populations qu’ils choisissent de réduire et d’obliger à eux en faisant semblant de les soigner… mais ces populations deviennent dépendantes de ceux qui ont détraqués leurs systèmes nerveux, et ça fait une magnifique clientèle à vie pour les pharmacies du complexe militaro-industriel de
La grippe espagnole, sortant des laboratoires Britanniques, et était une souche H1N1 particulièrement virulente et contagieuse.
En 1948, Heinrich Mueller, l'ancien chef de
Il se référait à la pandémie de grippe de 1918-1919 qui infecta 20% de la population mondiale et tua entre 60 et 100 millions de gens. C’est en gros, trois fois autant que les morts et blessés de
Il dit qu'elle « s’est libérée du contrôle », mais nous devons tenir compte de la possibilité horrible que « la grippe espagnole » était une mesure de dépopulation délibérée de l'élite, et qu'elle pourrait être utilisée encore. Les chercheurs ont trouvé des liens entre elle et l’actuelle « grippe aviaire ».
Il n'y avait rien « d’espagnol » dans cette grippe.
DES SIÈCLES DE CONSPIRATIONS où les populations ont été contraintes à aller à leurs écoles du combat, à se préparer à leurs guerres d’enrichissements, à travailler ventre à terre pour se laisser soutirer le tout en taxes et impôts…. Et ça, c’est la triste réalité.
Le SIDA, une maladie de la drogue.
En réalité, tout porte à croire que VIH et SIDA ont peu en commun. Aux États-Unis, le nombre total de porteur de VIH - environ un million - est resté stable depuis 1985 et tend à diminuer depuis 1996, selon les données statistiques du CDC. Cette caractéristique épidémiologique, mise en évidence par le scientifique anglais William Farr au début du XIXe siècle déjà, signifie que les mécanismes de l’immunité naturelle ont produit les anticorps nécessaires à la neutralisation du virus dans une population donnée.(5) Elle tend à prouver que le VIH est un virus ancien, bien maîtrisé et donc totalement inoffensif.
De son côté, comme on l’a vu, le SIDA n’a pas les caractéristiques d’une maladie infectieuse. Avant que l’hypothèse d’une contamination par le VIH soit médiatisée à l’exclusion de toute autre, plusieurs scientifiques avaient avancé que l’épidémie pourrait être un ensemble de symptômes résultant de la consommation de drogues. En 1981, le New England Journal of Medicine écrivait: " Peut-être une ou plusieurs de ces drogues récréatives sont immunodépressives. Particulièrement les nitrites, qui sont aujourd’hui inhalés de façon routinière pour intensifier l’orgasme. "(6) Plusieurs études vinrent renforcer cette hypothèse. Une équipe anglaise rapporta que 86% des homosexuels masculins atteints de SIDA à l’hôpital St-Mary de Londres avaient inhalé des nitrites, ou poppers. Entre 1983 et 1996, huit autres études réalisées aux États-Unis et en Europe mirent en évidence l’usage abusif de drogues - incluant nitrites, cocaïne et amphétamines - chez tous les patients étudiés.(7)
Bien que décriée par les tenants de l’hypothèse virale du SIDA, l’hypothèse selon laquelle cette maladie serait directement liée à la consommation de drogues immunodépressives n’a cessé d’être confirmée par les statistiques. En 1996, un tiers des Américains et plus d’un tiers des Européens atteints du SIDA étaient toujours les consommateurs de drogues dures, représentant la quasi-totalité des patients féminins ou hétérosexuels masculins. Plus des 60% étaient encore les homosexuels masculins consommateurs de drogues dites récréatives(8). En d’autres termes, l’épidémie de SIDA reste limitée aux groupes à risque initiaux et peut être considérée aux États-Unis et en Europe comme une conséquence épidémiologique de l’explosion du commerce de drogues illicites qui a suivi la guerre du Vietnam. Voilà pourquoi cette maladie n’est pas distribué uniformément parmi la population et pourquoi elle n’est pas contagieuse.
Cocktails immunodépresseurs.
En 1988, le National Institute on Drug Abuse (NIDA) attira pour la première fois l’attention du public sur les conséquences de l’abus de nitrites chez certains homosexuels masculins. Lors d’une conférence organisée en 1994, il fut relevé que l’usage de poppers était toujours en augmentation, notamment du fait de leur capacité à " relâcher brièvement les muscles des sphincters de l’anus et faciliter ainsi la pénétration. "(9) En 1997, The Advocate - un magazine destiné au public homosexuel - lança un cri d’alarme en affirmant que " l’insouciance des années ‘70 est de retour dans les "parties" où les homosexuels s’adonnent à des drogues illicites et une sexualité effrénée avec une désinvolture croissante. "(10)
Sur la base de centaines d’interviews, le magazine gay Out analysa également pourquoi les homosexuels prennent des drogues: " Une fois admis dans la communauté homosexuelle, [ils sont] souvent obsédés par l’idée d’être à nouveau rejetés par les gens du dehors. Pour de nombreux jeunes hommes, cette obsession les conduit à ingérer ou à s’injecter de puissants et dangereux stéroïdes, une tendance qui a démarré dans les années ‘80 et se développe encore aujourd’hui. "(11)
Mais au nom de l’hypothèse virale du SIDA, d’autres cocktails - médicamenteux cette fois - ont été commercialisés dans le but de soigner la maladie ou de prévenir la duplication du VIH. Entre 1987 et 1996, environ 200’000 Américains séropositifs - malades ou sains - reçurent chaque année des prescriptions de drogues comme l’AZT, un composé chimique développé il y a plus de 30 ans contre le cancer, puis abandonné en raison de sa toxicité. L’ingestion d’AZT et autre inhibiteurs de protéase est généralement accompagnée d’une liste effrayante d’autres médicaments, destinés notamment à pallier aux effets secondaires des premiers.
Morts sur ordonnance.
A titre d’exemple, la polypharmacie consommée journellement par un patient atteint de SIDA peut comprendre entre autres: Azidothymidine [AZT], Crixivan [inhibiteur de protéase], Acyclovir ou Zovirac [contre l’herpès], Myphyston [contre la cirrhose et l’hépatite], Nizoral ou Diflucan [fongicides], Hisminal [anti-bronchitique], Valium [anti-dépresseur], etc. sans compter les assortiments de vitamines et compléments alimentaires.
La plupart de ces composants sont toxiques pour les cellules et immunodépresseurs. Une prescription quotidienne d’AZT destinée à stopper la régénération des cellules provoque rapidement l’anémie, des nausées et une perte de poids. Dès 1990, le National Cancer Institute (NCI) rapporta que cette drogue augmentait le risque d’un cancer de la lymphe d’un facteur cinq. Mais d’autres études allant dans le même sens n’ont pas été publiées afin de ne pas compromettre la demande d’autorisation déposée par la firme Burroughs & Wellcome. Si le caractère cancérigène - déjà bien établi - de l’AZT était confirmé, la plupart des thérapies chimiques actuellement utilisées aux États-Unis contre le SIDA deviendraient illégales dans la foulée.
Une des preuves les plus éclatantes de la toxicité de ces drogues réside simplement dans le fait que les patients guérissent lorsqu’ils cessent d’en consommer. Une étude collective européenne datant de 1994 rapporte que 60% des bébés étudiés, nés de mères héroïnomanes, n’avaient plus de symptômes infectieux à l’âge de 6 ans en dépit de leur séropositivité. Les 40% restant moururent, ce qui correspondait exactement aux enfants traités à l’AZT. Un autre exemple est fourni par Roger Cobb, un séropositif de Philadelphie qui avait été un consommateur de crack et de cocaïne pendant plus de vingt ans. Après 14 mois de traitement à l’AZT, il avait développé une allure cadavérique: " Mon visage était creusé, ma peau terreuse; je perdais du poids, etc. Contre l’avis de mon médecin, j’ai décidé que l’AZT n’était pas pour moi. " Le résultat ? " Mon état est bien meilleur, je me retrouve enfin. " ajoute Roger qui prépare à 40 ans une maîtrise de travailleur social.(12)
Marc-André Cotton
Le bioterrorisme british-américain…
Bien à l’abris de tous soupçons
La menace londo-militaire est sur tous.
Espionnages militaires de ces paranos-militaires et Contre-Espionnages militaires contre leurs citoyens
Ils guerroyaient en rendant malades, en coupant les vivres, en empoisonnant des population entières.
L’apparition de grandes épidémies n’est pas étrangère à la nature insalubre des Villes d’autrefois: que ce soit par des guerres ou en les empoisonnant ou les rendant malades.
En 1943 et 1944, les Etats-Unis d’Amérique avaient déjà étudié douze mille produits chimiques et en avaient sélectionné sept mille comme possibles armes de guerre… d’ailleurs, en 1945, un crime prémédité contre l’humanité est étudié en vue de détruire les rizières autour des grandes villes du Japon. Ces produits chimiques étaient les précurseurs des Agents chimiques utilisés au Viêt-nam.
« La vérité historique, est souvent une fable convenue », a dit Napoléon Bonaparte.
L'histoire est un mensonge que personne ne conteste. Napoléon Bonaparte
« l’Histoire est une suite de mensonges sur lesquels on est d’accord », Napoléon Bonaparte.
"Il y a deux histoires : l'Histoire officielle, mensongère, qui nous est enseignée, et l'Histoire secrète où se trouvent les vraies causes des évènements : une Histoire honteuse." Honoré de Balzac
L’Histoire fut écrite par les plus barbares, par ceux qui ont vaincu et massacré le plus de gens.
Pour se débarrasser de ses pauvres: les Rois-Papes et Londres empoisonnaient leurs eaux potables, ou inventaient une course au trésor pour envoyer des milliers d'émigrants pauvres se noyer sur les mers.....
« On leur déclarera la peste ou le choléra »
On nous assassine et sacrifie nos vie depuis des centaines d’années pour :
(1) un supposé contrôle démographique
(2) pour le pouvoir et la fortune
(3) lorsque les peuples tentent de se gouverner par eux-mêmes
(4) pour nous imposer des religions ou l’esprit laique des militaires pour éviter de nous parler d’humanisme ….
<<Il faut prendre des mesures draconiennes de réduction démographique contre la volonté des populations. Réduire le taux de natalité s’est avéré impossible ou insuffisant. Il faut donc augmenter le taux de mortalité. Comment ? Par des moyens naturels : la famine, la maladie ET
Contrôle démographique par les vaccins (V.I.H. et autres. La vaccination est utilisée comme arme bactériologique depuis longtemps…que ce soit pour décimer des populations précises p.
STÉRILISER DES POPULATIONS CIBLES
Des molécules comme celles agissant sur la composition sanguine (douleurs musculaires) pourraient représenter une arme efficace et la production de ces molécules n’est pas techniquement difficile.
Ainsi, l’entreprise (MILITAIRE) américaine Epicyte a développé un maïs contraceptif en modifiant génétiquement le maïs afin qu’il produise un anticorps contre le sperme humain. Elle souhaite dorénavant pouvoir le produire en grande quantité afin de vendre ces anticorps sous la forme d’un gel contraceptif. Pourtant, il n’existe encore aucune preuve de l’intérêt économique des “plantes-médicaments” par rapport à la production des mêmes molécules par des cellules GM cultivées en fermenteur. De plus, cette technologie ainsi que les produits qui en résultent sont très difficiles à contrôler. Le scandale du maïs Starlink (cf. Inf’OGM n°18) ou plus récemment du maïs Bt10 aux Etats-Unis sont là pour nous le rappeler (cf. Inf’OGM n°62). Ils ne se gênent pas pour utiliser la nourriture contre nous (c’est inacceptable, c’est carrément de l’intimidation que font les États aux populations de
La guerre ? Ils ne font plus la guerre : ils détruisent l’ennemi sans guerroyer et simplement en l’empoisonnant avec des gaz chimiques. Ils n’ont donc plus besoin de soldats en réalité!
Nous sommes maintenant mieux équipés pour détruirent des populations sans avoir à utiliser de bombes ni d’armées : nous avons les armes bactériologies et chimiques que l’on peut inoculer par air et dans les aliments, et cela sans risquer la vie d’un seul soldat tout en étant à l’abri de tout soupçon.
DOULEURS CHRONIQUES à vie.
C’est terrible ce que les espions militaires sont amenés à faire aux ‘’défenseurs des peuples et éveilleurs de conscience’’. Et ces agents chimiques ou biologiques qui rendent des Humanistes invalides à vie ; il faut savoir quels seraient les éléments inoculés au départ sinon il est impossible de les déceler voire très difficile.
L’Afrique est le Pays le plus vacciné au monde : et ce n’est pas un hasard si c’est aussi en Afrique où il y a le plus de cas de SIDA dans le Monde. Les vaccinations provoquent des épidémies de leucémie. Les vaccinations sont la cause de réveils latents d’infections. Les vaccinations font le lit des cancers Les vaccinations sont mutagéniques et sont responsables de tares héréditaires, d’infirmités et de paralysies qui font souvent suite à la vaccination de façon très évidente. Les vaccinations sont tératogéniques : elles créent des monstres, des enfants difformes. Les vaccinations sont plus nuisibles qu’utiles. Des cellules cancéreuses se développent souvent aux endroits qui ont été vaccinés
Quand les États ont trop d’argent : ils inventent des guerres pour éviter de donner l’argent à leurs pauvres et pour maintenir leur système qui hiérarchisent des humains. Voilà à quoi ça sert des Armées! Et ils vident aussi les coffres du Trésor Public en donnant nos Fonds Sociaux aux multinationales à coups de crédits d’impôts et de privilèges fiscaux afin de dilapider nos surplus monétaires pour que jamais on pense à éliminer la pauvreté. Pour maintenir leurs hiérarchies et ne pas donner de l’argent à leurs pauvres : ils fabriquent guerres, chaos, diversions et nous endettent. 22-6-7.
LA PESTE..
LE CHOLÉRA. provenaient des bactéries de la putréfaction animale dans l’eau de l’alimentation. En 1885, en Espagne, le choléra-morbus cause 120 000 décès.
Le 10 avril 1972,
LES É P I D É M I E S..
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* Le TYPHUS
* Le CHOLÉRA :
ces maladies étaient autrefois endémique…
Pour enrayer ces maladies il n’a fallu que d’installer des caniveaux et des égouts, d’améliorer les pavages des rues et leur nettoyage, et d’assurer assez d’argent à tous pour qu’ils puissent se permettre les nécessités… et de manger moins de viande ET PLUS DE LÉGUMES ET DE FRUITS
L'Antiquité
La guerre "bactériologique" n'est pas une invention de ce siècle.
Ils disséminèrent tant
Cette "technique" a été reprise à plusieurs occasions, en Estonie en 1710 où, durant la guerre avec
Une "amélioration" de cette technique avait par ailleur été utilisée par les Britanniques contre leurs ennemis.
Dès l'Antiquité, certaines pratiques relevaient déjà de ce type d'action.
Ainsi, du VIIième et au Vième siècles avant notre ère, les archers scythes rendaient leurs flèches infectantes en en trempant la pointe dans des cadavres en décomposition ou dans du sang putréfié incubé à la température du fumier en macération, donnant ainsi la gangrène ou le tétanos aux personnes touchées par celles-ci.
Cette "technique" est encore utilisée de nos jours dans certaines îles de l'Océanie où les flèches sont empoisonnées par des vibrions septiques ou par des bacilles du tétanos, alors que les indiens Koniagos et les Toungouses sibériens trempent leurs armes dans des cadavres d'animaux en décomposition.
On se souviendra aussi du siège de Syracuse (~ 414) lors duquel le stratège syracusain Hermocrates amena les Athéniens à séjourner dans une plaine marécageuse connue pour son endémie palustre, alors qu'à l'occasion du siège d'Astacos (v. ~ 350) Clearchos, tyran d'Héraclée, fit délibérément camper dans un lieu marécageux et rempli d'eau croupie l'armée de ses concitoyens dont il voulait se débarrasser.
En 1982….
Il n’y a pas d’antidote. Diarrhées, sangs dans les intestins, on ne peut plus rien ingérer, et on perd une grande quantité de sang
LES TOXINES D’ E COLI ENDOMMAGENT LES REINS ET LE CERVEAU
C’est quelque chose qui détruit les organes à l’intérieur
Il s’attaque aux intestins en infectant les reins. Les traitements peuvent provoquer une mort encore plus douloureuse, dit l’animateur de l’émission de télé au canal 20. Le bacille est tout autour de nous, et pour qu’il se retrouve dans la chaîne alimentaire…..
Il est facile pour les Pays qui font de la recherche militaire sur les micro-organismes comme agents biologiques possibles d'ARMES BIO-CHIMIQUES de les utiliser et de nous contaminer par voies des animaux: et comme cela il nous devient difficile d'incriminer ces Chercheurs militaires aux soldes des Pays Conquérants actuels.
Flambées de grippe aviaire à virus H5N1 hautement pathogène
chez la volaille et chez l'homme: conséquences pour la sécurité
sanitaire des aliments
Une fois présent dans la viande de volaille, le virus H5N1 n'est détruit ni par la réfrigération, ni par la congélation.
• L'abattage et la préparation à domicile d'une volaille malade ou morte à des fins de consommation comportent des risques: cette pratique doit être stoppée.
• Les oeufs peuvent contenir le virus H5N1 aussi bien à l'extérieur (coquille) qu'à l'intérieur (blanc et jaune). Ceux provenant de zones touchées par des flambées de grippe aviaire à virus H5N1 ne doivent pas être consommés crus ou partiellement cuits (jaune encore liquide); les oeufs crus ne doivent pas servir à la préparation d'aliments qui ne subiront pas ultérieurement de cuisson ordinaire, de cuisson au four ou de traitement thermique d'un autre type.
• Il n'existe pas de preuve épidémiologique de la contamination d'êtres humains par le virus H5N1 suite à la consommation de viande de volaille ou d'oeufs bien cuits.
On trouve la plupart des souches du virus de la grippe aviaire uniquement dans les voies respiratoires et dans le tractus gastro-intestinal des oiseaux contaminés, et non dans la viande de ces volatiles.
La bactérie e-cole 157 est un nouveau mutant offensif. Il fait 650 000 morts à chaque année
Le lait est une source de souche de la bactérie e-coli
Les produits carnés est une autre souche d’e-coli
Les armes biologiques comprennent les armes bactériologiques et les armes virologiques.
Application des anticorps catalytiques à la dégradation d'organophosphorés toxiques = Antibody catalysed hydrolysis of organophosphorus poisons.
Sur l'exemple du VX, le toxique militaire le plus puissant, nous avons évalué le potentiel des anticorps catalytiques pour la dégradation in vitro des organophosphorés toxiques. Lors d'une première approche, 13 anticorps monoclonaux ont été sélectionnés vis à vis de leur reconnaissance d'un haptène de structure α-hydroxyphosphinate (PYPh7). Parmi ceux-ci, nous avons montré qu'un anticorps (PAR15) possède une activité catalytique pour l'hydrolyse du PhX, l'analogue aromatique du VX (K[cat]/(K[m] × k[ncat]) = 14400 M[−1]). Le mécanisme d'hydrolyse du PhX, à pH 7.4, résulte principalement de l'assistance de la chaîne azotée, via une catalyse basique intramoléculaire. Aussi, dans un deuxième temps, nous avons synthétisé un haptène plus élaboré, de structure α,α-difluorophosphinate (DFP), destiné notamment à mimer le repliement de la chaîne latérale azotée sur le phosphore. DFP a pu être synthétisé en 9 étapes, avec un rendement global de 17%, à partir du 5-hydroxy-2-nitrobenzaldéhyde, via une étape clef de fluoration électrophile. Cinq anticorps monoclonaux ont été sélectionnés vis à vis de leur reconnaissance de l'haptène DFP : l'évaluation de leurs propriétés catalytiques est en cours. Enfin, nous avons envisagé l'utilisation d'haptènes en équilibre entre deux formes P(IV) via un intermédiaire P(V). Cette stratégie de sélection d'abzymes est particulièrement innovante et pourrait permettre d'accéder à des intermédiaires réactionnels impossible d'accès sinon. Plusieurs haptènes ont été synthétisés (JEQ1, JEQ2, PEQ) et nous avons démontré qu'ils étaient en équilibre entre les deux formes P(IV). Les difficultés liées à la stabilité réduite de ces haptènes en milieu physiologique et à la détection de l'activité catalytique n'ont pas permis de mettre en évidence d'activité catalytique pour les anticorps monoclonaux sélectionnés vis à vis de leur affinité pour JEQ2.
ARMES BIOLOGIQUES :
POTENTIALITÉS DÉCUPLÉES
PAR
Toutes les recherches et les découvertes alimentaires comme c’est le cas pour les OGM (organismes génétiquement modifiés) c’est d’abord pour le domaine militaire : c’est la triste réalité.
Les propriétés des agents biologiques qui les rendent utilisables en tant qu’armes sont : capacité infectieuse, virulence, toxicité, pathogénicité, période d’incubation, transmissibilité, létalité et stabilité. Les caractéristiques qui les différencient des agents chimiques sont leur capacité à se reproduire, se multiplier dans le temps et donc, augmenter leurs effets nocifs. Historiquement, la plus grande utilisation d’armes biologiques date de la seconde guerre mondiale. L’armée japonaise basée en Mandchourie (Nord-est de
Les armes biologiques sont une classe à part d’armes puisqu’elles sont une menace sur nous tous et qu’on peut difficilement les suspecter et s’en défendre.
Ces armes biologiques incluent des organismes vivants capables de se reproduire et de sévir au-delà des cibles prévues initialement.
La décennie écoulée a vu se dérouler des changements rapides dans les domaines des sciences biologiques qui ont considérablement facilité le développement de telles armes.
RÉVOLUTION BIOTECHNOLOGIQUE ET ARMES BIOLOGIQUES
Au cours des années 80, les implications militaires du génie génétique se sont précisées. Ainsi, en 1989, dans un article de
(1).
Les micro-organismes par exemple, peuvent être rendus résistants à des antibiotiques, des vaccins, être plus mortels, plus faciles à manipuler, difficile à détecter et plus stables dans un environnement extérieur. Il y a longtemps qu’ils savent les utiliser, et les exemples montrent que ces objectifs n’ont jamais été du domaine de la science-fiction mais bien de la réalité.
Le développement d’armes biologiques efficaces et fiables nécessite un programme de recherche fiable et secret.
Ils savent se procurer des souches virulentes des agents biologiques, en produire de grandes quantités sans perdre l’efficacité d’action et comment développer des méthodes de dissémination efficaces.
Au sens militaire, un organisme doit répondre à un “cahier des charges” particulier. Il doit pouvoir être produit en grandes quantités, agir rapidement, et persister dans l’environnement ou dans le corps de l’individu.
Les maladies doivent disposer d’un traitement afin de protéger les troupes militaires offensives. (Donc, Humanistes, fouiller, car il y a un traitement pour ce qu’ils vous ont inoculés).
Le Bacille d’Anthrax, par exemple, répond à l’ensemble de ces exigences militaires et les victimes peuvent être guéries, même après plusieurs jours, par un traitement aux antibiotiques. Ainsi, seule une minorité de personnes mourront d’une attaque à l’anthrax dans des circonstances où la réponse médicale est disponible, comme ce fut le cas lors des attaques terroristes en 2001 aux Etats-Unis. Dans ces conditions, une simple manipulation génétique visant la résistance aux antibiotiques de l’agent pathogène pourrait le rendre bien plus létal en affectant l’efficacité et les délais des traitements. Les possibilités techniques de telles manipulations sont multiples et des méthodes ont été mises au point avec succès.
De nombreux exemples pourraient démontrer cela mais un est particulièrement parlant : le transfert de gènes de “bronzage”. De nombreux micro-organismes sont rapidement éliminés par une exposition au soleil et sont donc limités en tant qu’armes biologiques. Ces micro-organismes sont donc utilisés de préférence la nuit pour atteindre une grande efficacité d’action, puisqu’ils ne sont pas exposés aux rayons ultraviolets de la lumière du soleil. Mais des “gènes de bronzage” ont pu être transférés dans leur génome, procurant à ces organismes une protection contre ces rayons ultraviolet. Ces gènes peuvent être, par exemple, impliqués dans la synthèse de caroténoïdes (Sandmann et al. 1998).
D’autres organismes ont été modifiés afin de pouvoir s’attaquer directement à certains matériaux (plastique, caoutchouc, métaux...) et donc avoir “clairement le potentiel d’armes de guerre ou d’agression si utilisés contre du matériel crucial pour le déroulement de la vie civile”, selon le gouvernement britannique
(2).
Ainsi, un microbe génétiquement modifié pour être capable de détruire le manteau en plastique recouvrant les avions militaires en moins de 3 jours, a été mis au point par les laboratoires de recherche de la marine américaine.
LES O G M
Les plantes transgéniques : nouvelles armes biologiques de Londres
Les Etats-Unis ont accentué leurs efforts depuis une dizaine d’années afin de produire des organismes vivants modifiés (OVM) capables de s’attaquer directement aux cultures produisant de la drogue (cf. encadré).
Ils ont aussi développé la technologie Terminator (cf. Inf’OGM n°48, décembre 2003) qui rend les semences de plantes stériles afin de protéger les intérêts des semenciers et qui pourrait être utilisée dans le cadre de la guerre économique. Si les cultures de plantes Terminator se répandent dans le monde entier, il serait alors aisé pour une entreprise transnationale d’arrêter les ventes de semences à un pays ou une région pour des raisons économiques ou politiques. En effet, après plusieurs années de culture de ces plantes stériles, seules de petites quantités de semences seraient disponibles, paralysant l’agriculture et exposant le pays à une crise économique et / ou une famine.
DES VIRUS MODIFIÉS POUR TUER
… pour tuer certains d’entre nous qui les dérangent
tout en évitant les soupçons sur eux
Dans les années 90, des chercheurs russes ont modifié génétiquement des propriétés de la bactérie Anthrax. Ces modifications avaient pour conséquences de rendre obsolètes les vaccins existants et les méthodes de détection de la bactérie (1). Ils ont également développé un nouveau vaccin contre cette bactérie modifiée. Faisant suite à ces travaux, des chercheurs américains du Ministère de
(3).
La peste a également été étudiée. Selon des scientifiques russes, la bactérie responsable des épidémies de peste a été modifiée afin de résister à 16 antibiotiques différents
(4).
Des chercheurs allemands ont modifié génétiquement le virus Ebola et ont découvert que ce virus devenait encore plus mortel lorsqu’une partie d’un de ses gènes était supprimée. Les chercheurs venaient de supprimer la fonction virale diminuant la toxicité de ce virus
(5).
Enfin, des scientifiques japonais ont réalisé une combinaison de gène du virus du SIDA humain avec des gènes du même virus attaquant les singes et un gène humain codant une protéine impliquée dans le système immunitaire. Les résultats obtenus ont montré que le gène humain stimule la multiplication d’un tel virus, et, selon les chercheurs, “a un effet sur la multiplication virale et la toxicité chez l’Homme”
(6).
VACCINATIONS COMME ARMES (contre des populations cibles)
L’Afrique est le Pays le plus vacciné et c’est là qu’on retrouve le plus haut taux de sidatiques dans le monde.
La production de vaccins est produite d’abord comme armes militaires avant d’être utilisés comme médicaments. Et c’est le cas d’autres substances actives biologiquement dites “comestibles” (moléculture). Mais si elles étaient produites par des cultures agricoles, cela pourrait rapidement se révéler dangereux dans le cadre d’une utilisation hostile.
Depuis ces dernières années, les modifications génétiques des plantes agricoles par des cheurcheurs militaires et qui cherchent, entre autres, à produire et fournir des vaccins comme contre-poisons à leurs armes chimiques et bactériologiques.
HUMANISTES COMME COBAYES INVOLONTAIRES
AUX CHERCHEURS MILITAIRES
Plusieurs articles démontrent que les plantes transgéniques peuvent induire une réponse immunitaire chez l’Homme (Haq et al. 1995, Streatfield/Howard 2003), et des essais cliniques sur patients humains OU HORS CLINIQUE SUR DES HUMAINS ET À LEUR INSU sont en cours de réalisation, testant des vaccins produits par des cultures ET DES DES BACTÉRIES PATHOGÈNES ET DANGEREUSES (3). Ces vaccins ET BACTÉRIES peuvent être extraits de la plante en vue de traitement ultérieur ou bien directement administrés aux patients par consommation de la plante productrice OU PAR VAPEURS TOXIQUES ÉMISES DANS L’AIR AVOISINANT DE
Les vaccins et les bactéries ne sont qu’un exemple des différentes molécules pouvant être produites par des cultures transgéniques. Plusieurs entreprises militaro-pharmaceutiques utilisent cette technologie afin de produire des enzymes industrielles, des hormones de croissance ou encore, des produits pharmaceutiques, ce qui pose un problème sérieux pour la santé humaine et l’environnement, surtout lorsque ces molécules pharmaceutiques sont produites par des plantes comestibles (4). En ce sens, la récente mission parlementaire française sur les enjeux des essais et de l’utilisation des OGM a proposé dans son rapport d’“adapter les conditions de ségrégation d’une culture OGM à finalité médicamenteuse en fonction du danger potentiel que représenterait une ingestion accidentelle ou intentionnelle de l’État sur certains de ses citoyens. En particulier, utiliser des plantes qui n’ont pas de finalité alimentaire, sauf nécessité absolue dûment justifiée [par les groupes militaires d’espionnages] et protéger matériellement les parcelles de plantes transgéniques à finalités militaire et médicale….
Dans le cas de conflits prolongés, il pourrait être tentant d’utiliser de telles cultures pour répandre des molécules nocives, induisant par exemple des cancers ou des diminutions de fonctions vitales comme la fertilité chez les Hommes ou les animaux, ou encore en introduisant la fragilité d’une culture qui pourrait conduire à sa destruction complète. De tels “outils guerriers” pourraient aisément être introduits dans les stocks de semences, grenier alimentaire d’un pays. Une telle action peut être simplement effectuée sous couvert de distribution d’aide alimentaire.
STÉRILISER DES POPULATIONS CIBLES
Des molécules comme celles agissant sur la composition sanguine (douleurs musculaires) pourraient représenter une arme efficace et la production de ces molécules n’est pas techniquement difficile.
Ainsi, l’entreprise (MILITAIRE) américaine Epicyte a développé un maïs contraceptif en modifiant génétiquement le maïs afin qu’il produise un anticorps contre le sperme humain. Elle souhaite dorénavant pouvoir le produire en grande quantité afin de vendre ces anticorps sous la forme d’un gel contraceptif. Pourtant, il n’existe encore aucune preuve de l’intérêt économique des “plantes-médicaments” par rapport à la production des mêmes molécules par des cellules GM cultivées en fermenteur. De plus, cette technologie ainsi que les produits qui en résultent sont très difficiles à contrôler. Le scandale du maïs Starlink (cf. Inf’OGM n°18) ou plus récemment du maïs Bt10 aux Etats-Unis sont là pour nous le rappeler (cf. Inf’OGM n°62). Ils ne se gênent pas pour utiliser la nourriture contre nous (c’est inacceptable, c’est carrément de l’intimidation que font les États aux populations de
Quand le contrôle biologique légitime les armes biologiques
Fin des années 90, deux champignons GM (Génétiquement modifiés) étaient prêts dans les laboratoires, Pleospora papaveracea et Fusarium oxysporum. Le premier fut testé en 2001 en Ouzbékistan, avec financements et appuis scientifiques américains, pour ses capacités à détruire des champs d’opium. Le deuxième devait être testé en Colombie en 2000 pour sa capacité à détruire les cultures de coca, mais en réalité leurs buts étaient tout autre.
L’utilisation de ces organismes destructeurs de cultures n’étaient que pour menacer les États Trafiquants et les mettre aux pas des États Conquérants.
Ce contrôle biologique des mauvaises herbes ou insectes dans le cadre d’une agriculture durable n’était qu’une façade qui cachait l’intention militaire de tout contrôler par la menace, l’intimidation, la peur, la destruction ou la maladie (rendre les gens invalides physiquement et mentalement). Cet argument est dénoncé par des scientifiques spécialisés dans le contrôle biologique qui déclarent : “nous rejetons tout lien entre un contrôle biologique légitime et l’utilisation d’agents biologiques dans l’élimination des parasites…. (d’humains jugés comme ‘’parasites’’).
Ainsi, le contrôle biologique par des organismes mis en place militairement régule les populations considérées comme ‘’parasites’’ et les éradique par leurs cultures cultivées militairement comme le font les mais modifiés génétiquement pour rendre stérile ou affaiblie sanitairement certaines populations cibles.
Le développement, la production, le stockage, l’acquisition et la rétention d’armes biologiques ou toxiques “quels que soient la méthode de production sont des menaces que le Gouvernement Mondial (Couronne d’Angleterre + Pape + …) font aux populations de
Ces “armes, équipements ou modes de dissémination destinés à l’utilisation d’armes biologiques ou toxiques à des fins hostiles ou dans le cadre de conflits armés” et aussi dans l’utilisation quotidienne de leurs milliers d’Agents Espions dans le Monde.
Pour exemple, la toxine du Botulinium (“Bot Tox”) est une arme biologique du fait de ses effets sur les muscles.
.... blog en amélioration.... à suivre ....
par Viny Eden mon e-mail soleilpourtous@hotmail.com
quelques uns de mes BLOGS…
dwanrg. blogspot.com vinyeden.blogspot.com
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soleilpourtous. blogspot.com
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p. s.
LIBERTÉ d’EXPRESSION DE CHACUN
Déclaration Universelle des Droits de l'Homme:
Article 19: "Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit."
annexes
C’est pour nous voler que le Royaume-Uni jette l’Humanité dans la concurrence, la compétition et l’insécurité de vie (pour que les Cies d’Assurances nous l’assurent). Le vol est installé et déplorablement légalisé entre nous par les anarchies que sont
*** Les COUPS D’ÉTATS ont toujours été fomentés et exécuté par des militaires britanniques et souvent à la tête des foules… même si l’on fait croire que ça vient du peuple… Ce sont même des ex-militaires qui le font comme cela fut le cas à Port-au-Prince en Haïti. *** 1905 à 1965, il y eut plus de 20 interventions de la marine dans un pays ou un autre des Caraïbes où furent aussi mis en place des dictatures grandis sous l’aile de l’occupation des Nord Américains. Après le départ des marines en 1924, Raphaël Léonidas Trujillo fut 30 ans maintenu au pouvoir. Il commandait une garde nationale que les Nord-Américains avaient créés et soigneusement entraînée. *** Attaqués par l’Armée Américaine, des centaines de milliers de gens assassinés au Nicaragua et au Salvador. Le prétexte des Américains était qu’ils risquaient de déborder à Harlingen, Texas. Le BÂTAILLON DE
États sadiques
Aux X1Ve siècle, l’Angleterre utilisait les pirates pour saccager les richesses du Nouveau Monde.
Des États qui jettent leurs populations dans l’anarchie et l’enfer de la vie de concurrence et de combat : croyez bien et comprenez bien pourquoi ils ne se gênent pas non plus pour faire entrer toutes les drogues possibles en leurs seins afin de geler leurs citoyens.
Tous les États sont fondes sur l’inégalité, la pauvreté …et sont dictés par l’Économie antifraternelle de
Les Dirigeants de ce Monde ont toujours su utiliser les Bandits, les Pirates, les Sadiques, les Mafias, les Motards, les révoltés et exclus….. contre leurs propres populations. Maintenant, par
70 PAYS ENSEIGNENT À TORTURER LES CITOYENS. " 14 organisations des droits de l'homme dénoncent Londres ".
SCOOP……………. CAMP TERRORISTE EN GRANDE BRETAGNE
Au canal 6 ce 27-10-7 aux Nouvelles à 22 hrs 30 on y dit « Scandale en Angleterre, des images de ce qui semble être un CAMP TERRORISTE EN ANGLETERRE », et l’animatrice poursuit…
En Grande Bretagne, 5 hommes y tiennent un CAMP TERRORISTE. Un homme qui se fait appelé Mohamed Hamid y organise des Attentats Terroristes et entraîne pour cela. On y voit un vidéo où une dizaine d’hommes habillés en militaires, s’entraînent au combat et luttent entre eux dans un boisé de
ASSASSINS. LES CRIMES DU CLERGÉ. « La faim seule peut aiguiller les pauvres pour les faire travailler » disait le Clergé en 1786.
Que ce soit par le Common Law britannique ou le Code de Napoléon de l’Empire Français : ils s’assuraient l’Égalité des Héritiers, donc
Lincoln avait écrit « Lorsque les Gouvernements émettront de la nouvelle monnaie gratuitement (et en fonction d’assurer à tous un bon pouvoir d’achat suffisant) : il n’y aura plus de limite au Progrès, aux avantages de vivre en collectivité et, au véritable progrès humain, les Gouvernements possèderont dès lors leurs propres monnaies sans l’emprunter. Ils en pourront payer leurs dettes, se libérer de toutes leurs créances. Ils possèderont toute la monnaie nécessaire à leurs commerces. Ils connaîtront une ère de prospérité sans précédent dans l’histoire de la civilisation… ».
Voici le fameux article que le TIMES (appartenant à
Flambées de grippe aviaire à virus H5N1 hautement pathogène
chez la volaille et chez l'homme: conséquences pour la sécurité
sanitaire des aliments
Les modes de cuisson classiques (températures supérieures ou égales à 70° dans toutes les parties de l'aliment) inactivent le virus H5N1. Une volaille bien cuite peut donc être consommée sans danger.
• Une fois présent dans la viande de volaille, le virus H5N1 n'est détruit ni par la réfrigération, ni par la congélation.
• L'abattage et la préparation à domicile d'une volaille malade ou morte à des fins de consommation comportent des risques: cette pratique doit être stoppée.
• Les oeufs peuvent contenir le virus H5N1 aussi bien à l'extérieur (coquille) qu'à l'intérieur (blanc et jaune). Ceux provenant de zones touchées par des flambées de grippe aviaire à virus H5N1 ne doivent pas être consommés crus ou partiellement cuits (jaune encore liquide); les oeufs crus ne doivent pas servir à la préparation d'aliments qui ne subiront pas ultérieurement de cuisson ordinaire, de cuisson au four ou de traitement thermique d'un autre type.
• Il n'existe pas de preuve épidémiologique de la contamination d'êtres humains par le virus H5N1 suite à la consommation de viande de volaille ou d'oeufs bien cuits.
• Ces sont les opérations de manipulation et d'abattage de volailles vivantes contaminées qui comportent le plus grand risque d'exposition au virus. L'application de bonnes pratiques d'hygiène pendant l'abattage et la préparation qui suit est indispensable pour prévenir l'exposition par l'intermédiaire de la viande de volaille crue ou la contamination croisée entre la volaille et d'autres aliments, ou entre celle-ci et les surfaces ou les équipements de préparation des aliments
Volaille
Présence et survie du virus
On trouve la plupart des souches du virus de la grippe aviaire uniquement dans les voies respiratoires et dans le tractus gastro-intestinal des oiseaux contaminés, et non dans la viande de ces volatiles. Cependant, les études disponibles indiquent que les virus hautement pathogènes, tels que la souche H5N1, se propagent pratiquement à toutes les parties d'un oiseau contaminé, y compris la viande. Les virus de la grippe aviaire survivent dans la viande de volaille crue contaminée et peuvent donc se propager à travers la commercialisation et la distribution de produits alimentaires contaminés, tels que de la viande fraîche ou congelée. En général, les basses températures préservent la viabilité du virus de la grippe aviaire.
Ces virus peuvent survivre dans les fèces pendant au moins 35 jours à basse température (4° C), tandis qu'à
En raison de ces capacités de survie, les procédés courants de conservation des aliments, tels que la congélation et la réfrigération, ne diminuent pas substantiellement la concentration ou la viabilité de ces virus dans la viande contaminée. Néanmoins, une cuisson normale (à des températures supérieures ou égales à
Manipulation des volailles avant cuisson
Zones subissant actuellement des flambées de grippe aviaire chez les volailles. Dans le cas des volailles élevées à proximité des habitations, les pratiques d'abattage, de plumage et d'éviscération à domicile, liées à la commercialisation d'oiseaux vivants, sont à l'origine de risques plus étendus et supplémentaires d'exposition à des parties potentiellement contaminées de volaille. Ces pratiques comportent donc un risque important de contamination. D'après les informations actuellement disponibles, un grand nombre de cas humains confirmés sont dus à la transmission du virus pendant l'abattage ou les manipulations ultérieures d'oiseaux malades ou morts avant la cuisson. La réalisation sans risque à domicile des opérations d'abattage, de plumage et d'éviscération des volailles exige que la personne qui les exécute porte un équipement de protection complet et soit pleinement informée des mesures préventives nécessaires. C'est pourquoi, il faut mettre fin à ces pratiques lorsqu'elles s'appliquent à des oiseaux à l'évidence malades ou morts, comme c'est le cas dans les contextes ruraux traditionnels d'Asie ou d'autres régions du monde.
Des études récentes portant sur les pratiques traditionnelles ont montré que les campagnes d'éducation à la santé publique concernant la maladie et les mesures de protection s'y rapportant ont atteint les populations rurales, pour lesquelles le risque d'être contaminé par contact avec des volailles élevées à proximité des habitations et infectées est le plus grand. Néanmoins, il est très difficile de changer les comportements et les pratiques consistant à conserver des volailles malades ou mortes et à les préparer en vue de leur consommation n'ont pas disparu, ce qui perpétue les risques de cas humains supplémentaires et d'émergence d'un virus pandémique. Compte tenu des flambées en cours chez les volailles, un renforcement des efforts pour modifier ces comportements est nécessaire. A condition d'être correctement expliquées et appliquées parmi les populations rurales des zones affectées, de telles modifications des comportements conduiraient à une progression considérable dans la réduction du risque de multiplication des contaminations humaines et, simultanément, à une diminution importante du potentiel de transmission d'autres infections. Enfin, une amélioration rapide des conditions socio-économiques s'impose dans les zones où la valeur d'un poulet malade ou mort est telle qu'elle ne peut être gaspillée.
Dans le cas des élevages industriels, soumis à un contrôle vétérinaire strict, les volailles malades ne devraient pas entrer dans la chaîne alimentaire, la probabilité qu'une volaille contaminée soit commercialisée et finalement manipulée par un consommateur ou un employé de restaurant étant donc considérée comme très faible.
3
Cependant, ce risque pourrait augmenter compte tenu de la possibilité attestée que certaines volailles au moins soient porteuses du virus sans manifester de symptômes patents de la maladie. Zones exemptes de flambées épidémiques: des restrictions à l'importation des produits de volaille crus en provenance de zones touchées sont souvent adoptées pour prévenir la propagation potentielle du virus aux troupeaux de volailles.
Consommation de produits de volaille
Le virus est inactivé aux températures atteintes dans le cadre des pratiques de cuisson classiques [70°C au moins au centre du produit ("température de la braise") ou lorsque la viande ne présente aucune partie rose]. La consommation de volailles bien cuites est sans danger. On a signalé quelques cas humains potentiellement associés à la consommation d'ingrédients provenant de volaille crue (de plats à base de sang cru, par exemple). Il convient par conséquent d'insister sur le fait que la consommation de tout ingrédient provenant de volailles crues est une pratique à haut risque et déconseillée. Ce message est important non seulement pour prévenir la propagation de la grippe aviaire, mais aussi celle d'une série d'autres maladies transmises par la volaille crue ou incomplètement cuite. En conclusion, il ressort des considérations précédentes que la viande de volaille bien cuite est saine, mais que, dans les zones touchées par la grippe aviaire à virus H5N1 hautement pathogène, la manipulation de viande de volaille contaminée crue congelée ou décongelée avant la cuisson peut comporter des risques si les bonnes pratiques d'hygiène ne sont pas respectées (se référer aux recommandations figurant dans le cadre ci-dessous).
OEufs
On peut trouver le virus de la grippe aviaire à virus H5N1 hautement pathogène à l'intérieur ou à la surface des oeufs pondus par des oiseaux contaminés. Bien que les oiseaux malades s'arrêtent normalement de pondre, les oeufs pondus pendant la phase précoce de la maladie pourraient renfermer des virus dans le jaune ou le blanc, ou encore à la surface de la coquille. De plus, certaines espèces aviaires, comme les canards domestiques, peuvent aussi être contaminées sans présenter de symptômes. Le potentiel de contamination de leurs œufs n'est pas connu. Le temps de survie des virus dans les fèces (se référer à la partie précédente de ce document pour les temps de survie à différentes températures), que l'on peut trouver sur des surfaces comme la coquille des oeufs, est suffisant pour permettre une large dissémination de ces virus lors de la vente et de la distribution des oeufs, pendant leur durée de conservation. Seule une cuisson appropriée peut inactiver le virus présent à l'intérieur des oeufs. Les protocoles de pasteurisation appliqués par l'industrie pour les produits liquides à base d'oeufs produiront également une inactivation efficace du virus (par exemple, oeuf entier, 60°C: 210 s; blanc d'oeuf liquide, 55,6 °C: 372 s; jaune salé à 10 %, 63,3 °C: 210 s). Il n'existe pas de preuve épidémiologique laissant supposer que des êtres humains aient contracté la grippe aviaire en consommant des oeufs ou des produits à base d'oeufs. Les oeufs en provenance de zones touchées par des flambées épidémiques chez les volailles ne doivent pas être consommés crus ou partiellement cuits (jaune encore liquide). La pasteurisation ou la cuisson des oeufs réduisent aussi notablement le potentiel de transmission d'autres infections, par exemple les salmonelloses.
Volailles vaccinées
Certaines parties du monde ont adopté des réglementations concernant la lutte contre la grippe aviaire chez les volailles. Dans le cas de l'Union européenne, par exemple, ces réglementations sont spécifiées dans
La vaccination des volailles a été recommandée en tant que mesure complémentaire, susceptible de contribuer à la lutte contre la grippe aviaire à virus H5N1 hautement pathogène chez les volailles en Asie. Certains pays d'Asie touchés par des flambées de grande ampleur et récurrentes de grippe aviaire à virus H5N1 hautement pathogène mettent en place des programmes de vaccination à grande échelle, en tant que mesure participant à l'endiguement des flambées chez les volailles. De tels programmes doivent prévoir des dispositifs de suivi et de surveillance visant à garantir que des oiseaux contaminés, mais asymptomatiques, ne pénètrent pas dans la chaîne alimentaire.
Le vaccin habituellement utilisé pour vacciner les volailles est constitué de virus inactivés, qui par eux-mêmes ne comportent pas de risques pour la sécurité sanitaire des aliments. Selon le degré de correspondance du vaccin avec la souche circulante du virus, la volaille, quoique vaccinée, peut néanmoins être contaminée et porteuse du virus. C'est pourquoi la viande de volaille et les oeufs doivent être manipulés avec les précautions requises par la sécurité sanitaire des aliments dans la mesure où ils peuvent être contaminés, à moins qu'un programme de suivi et de surveillance en place n'ait garanti leur salubrité.
La vaccination des volailles élevées à l'extérieur des habitations peut procurer une sensation de sécurité trompeuse chez leurs propriétaires, qui peuvent, sans le savoir, abattre et manipuler des oiseaux contaminés, ce qui risque de les exposer eux-mêmes à la contamination. Bonnes pratiques d'hygiène recommandées pour réduire l'exposition au virus et limiter la propagation par l'intermédiaire de l'alimentation (adapté d'après "Les cinq règles de l'OMS pour une alimentation saine") :
Séparer la viande crue des aliments cuits ou prêts à consommer pour éviter la consommation. Ne pas utiliser la même planche à hacher ou le même couteau pour la viande crue et les autres aliments. Ne pas manipuler des aliments crus, puis des aliments cuits sans se laver les mains entre temps et ne pas remettre la viande cuite dans la même assiette ou sur la même surface qu'avant la cuisson. Ne pas utiliser des oeufs crus ou mi-cuits dans des préparations alimentaires qui ne subiront pas de traitement thermique ou de cuisson.
2. Éviter de se salir les mains et se les laver. Après avoir manipulé du poulet ou des oeufs congelés ou décongelés, se laver soigneusement les mains au savon. Laver et désinfecter toutes les surfaces et les ustensiles ayant été en contact avec la viande crue. 3. Procéder à une cuisson complète. Une cuisson complète de la viande de volaille inactive le virus. S'assurer que la viande de volaille atteint une température de
4. S'abstenir de consommer des morceaux de volaille ou des oeufs crus
IDÉMIES ET DES MALADIES SONT GÉNÉRÉS PAR L’ALIMENTATION CARNÉE
Les personnes végétariennes risquent moins de contracter le diabète de type II, démontre une étude américaine qui a duré 21 ans et à laquelle ont participé des végétariens et des non-végétariens (25 698 adultes). Le végétarisme a un impact positif chez les personnes déjà atteintes.
«Le LAIT était bien souvent générateur de Tuberculose tant en Amérique du Nord, au Royaume-Uni, et dans tant d’autres parties du Monde». P. 169 du livre «Droit Constitutionnel» par François Chevrette.
LE CANCER DU CÔLON. ne se retrouve que chez les gros mangeurs de viande, c’est bien connu. Et la médecine actuelle pour tenter de les guérir: souvent les met au végétarisme mais c’est souvent trop tard hélas.
CANCER DU S E I N, et viandes grillées. La viande grillée double le risque de cancer du colon et du sein chez la femme *** L’Argentine et l’Uruguay font partie des plus grands consommateurs de viande de bœuf du monde et parallèlement ils font partie des pays qui sont le plus touchés par le cancer du sein et de l’intestin.
VIANDE : AGRESSIVITÉ ET VIOLENCES.
La viande rend violent… elle a mené aux guerres. N’oubliez pas qu’on nourrit abondamment de viandes et la plus saignante possible les soldats pour augmenter l’agressivité et les préparer mentalement à l’esprit de tuer. Carnivorisme = nomadisme = vie de survies, d’insécurités et de luttes. L’agressivité, l’impulsivité des gros mangeurs de viandes. Trop de viande rend sado-masochiste, mène vers l’homosexualité, amène à développer des anomalies mentales et des déviances sexuelles. La viande a un effet stimulant (et la dépression s’en suit): ce qui rend agressif et pousse à la confrontation. Les carnivores sont capables d’efforts violents mais brefs : tandis que les végétariens fournissent des efforts soutenus.
VIANDE : MALADIES MENTALES et. ALZHEIMER. Manger des animaux cela modifie nos mentalités. *** Une étude de 1998 démontre que les personnes consommant de la viande ont plus souvent des peurs et des dépressions par rapport aux végétariens. La viande fait progresser les dépressions. La viande a un effet négatif sur l’état psychique de l’homme. *** Une alimentation riche en protéine amène à une augmentation de cortisol dans le plasma sanguin et dans la salive. Une concentration de cortisol trop élevé endommage l’Hippocampus, ce qui amène à la perte de mémoire. Selon une étude de l’université Loma Linda en Californie, les consommateurs de viande sont soumis à un plus grand risque de maladies de démence. Une ALIMENTATION VÉGÉTALE aide mieux à utiliser les facultés intellectuelles.
Les populations qui consommaient en majorité du riz entier : ne connaissaient pas les problèmes du béribéri dû au riz blanc (raffiné). Chacun de nous a au moins 1700 sortes de protéines : les protéines des yeux, du cœur, des ongles… et chacune de nos protéines sont uniques. Nos 1700 sortes de protéines n’acceptent pas les protéines des autres humains et non plus celles des animaux. Alors notre foie doit désaminer les protéines de ‘’secondes mains’’ et usées de la viande pour les reconstituer en nos propres protéines.
Les épidémies sont provoquées par des conditions malsaines qui affectent tous les habitants d'une région : panique, peur durant les guerres, humidité excessive, froid ou chaleur excessifs, eau contaminée, les orgies de Noël, etc.
Tant la viande de bois que celle des animaux élevés biologiquement contiennent naturellement des ALCALOÏDES (appelés ‘’poisons overtoniens’’) et qui sont des poisons des nerfs tels : les ptomaïnes, les bases xanthées, des purines, de la midaléïne, de l’hydrocol, des leucomaïnes, de la lidine et de la parvoline… Et il y a ces vers microscopiques pullulant à la mort de l’animal et qui sont dans tout son organisme.
La nourriture carnée est inappropriée et inapte à promouvoir des performances physiques continues : les joueurs de hockey le savent maintenant et se nourrissent davantage de végétaux et de céréales.
Les prisonniers Nazis nourris juste de viandes décédaient en dedans de 28 jours.
DE
Le carnivorisme chez l’humain est une sorte de FANATISME et de Rituel primitif à cette dépendance guerrière du passé (sacrifices animaliers et humains), laquelle a poussée l’humain à modifier son alimentation fruitarienne pour l’ingestion de chair animale. L’exploitation des animaux a mené à l’exploitation entre les humains (du Commerce d’esclaves à l’Économie de prédation qu’est
Les oiseaux savent régulièrement se laver dans les flaques d’eau ou sur le bord des lacs, les chats se lavent en se léchant les poils….. Mais il n’y a pas longtemps que l’humain a recommencé ses bonnes habitudes naturelles de propreté puisque son ignorance et ses rituels l’ont amené à vivre de façons malsaines depuis ces derniers millénaires. Et les épidémies reliées à la mauvaise hygiène de vie ont infesté nos civilisations guerrières et décadentes de ces derniers siècles. C’est ça lorsqu’on viole les Lois de
Un grain de sable dans les rouages des pandémies
Le déroulement des évènements ne reflète pas toujours l’exacte envergure des intérêts qui sont en jeu. C’est le cas de l’apparente bienveillance du monde occidental vis-à-vis des pays en voie de développement. Mais quand quelqu’un vient troubler ce qui n’est que manœuvre de relations publiques, les masques tombent et les ordres sont donnés. Les chiens préalablement manipulés et désinformés sont lâchés, et ils font en sorte que le grain de sable ne fasse pas boule de neige, n’ayant même plus conscience qu’ils ne montrent plus les crocs que devant ceux qui peuvent les affranchir.
L’apparition de grandes épidémies n’est pas étrangère à la nature insalubre des Villes d’autrefois et à l’alimentation carnée chez l’humain fruito-végétarien.
Au Québec à chaque année, plus de 10 000 personnes meurent inutilement et de façons prématurées à cause de la viande.
La mauvaise habitude de manger de la viande coûte des milliards $ chaque années en plus des souffrances et des morts inutiles. Les animaux et les poissons ne sont pas de la viande ni de la bouffe.
MALADIES DES PEUPLES PRÉDATEURS ET CONQUÉRANTS : ÉPIDÉMIES, PESTE, TUBERCULOSE, CANCERS. Si manger des animaux nous était naturel : on en serait pas aussi malade!
CESSEZ DE PÊCHER, DE CHASSER, DE MANGER DE
.Sortons des premiers DEGRÉS DE
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