(Abécédaire) Lexique de 
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Toute trace de conflits publics est très vite mise hors de vue par une urbanité décorative et par la police ; où nous endorment radios, télés, spectacles….
L’architecture adorative à l’Élitisme antifraternel n’est que
L’Industrie militaire romaine du bâtiment et l’économie de guerre des impérialistes ont imposé aux populations du monde entier des œuvres et des cultures adoratrices de Droite.
De tous temps des humains (des Élus, des bureaucrates, des décideurs civils et militaires), par la politique, ont livré leurs pays aux Commerçants et aux Banquiers quo les tiennent financièrement!
111ième siècle Rome comptait plus de un million d’habitants
En 417 de notre ère, l’Italie et Rome cessent d’être le centre du Commerce : mais de l’Économie!
Vième siècle Naissance du Gouvernement mondial
2 Empires qui dominaient le Monde s’allient
DONC NAISSANCE DE
L’EMPIRE ROMAIN : LE PLUS PUISSANT AU MONDE. Au XVe siècle, l’empire le plus puissant du monde, l’empire romain, a abouti à un centre urbain irriguant 5627 communautés.
Villes porteuses de la discorde payant
La minorité (les élites) du haut de ses privilèges, n’accepte pas les droit de la majorité
En Angleterre mais aussi bien avant aux temps des Dynasties puis des Grecs, les mécanismes de la puissance militaire établirent un modèle de ville.
La ville est une structure de contrôle qui répond aux fonctions commerciales qui en sont les points centraux.
TOUS FAÇONNÉS. Rien d’anodin dans tout ce que véhicule nos structures sociales et nos milieux de vie : ils influencent nos comportements. . La société urbaine est stratifiée en milieux sociaux dictés par l’économie qui marquent les aspirations de chacun. Les archétypes architecturaux s’intègrent en nous ainsi les idéologies qu’ils véhiculent. L’obéissance aux feux de circulation, aux arrêts-stops, aux panneaux de limites de vitesses…
Tous les États, leurs hiérarchies, leurs architectures et leurs bureaucraties, ont été imaginés par des philosophes militaires, des juristes et des économistes militaires…tous de la machine de guerre.
Les villes sont héritières de l’esprit militaire. Toutes villes sont les modèles de l’ordre économique impérial. Les travaux publics où s’expriment toujours l’esprit d’une civilisation prisonnière du Clerc-Monarchique à travers l’Économie mondiale. L’industrie militaire romaine du bâtiment et l’économie de guerre des impérialistes ont imposé aux populations du monde entier des œuvres et des cultures adoratrices de Droite. Toutes les villes importantes ont leur sangsue de la surveillance paranoïaque (Il y a toujours une Base militaire située à l’embouchure des voies navales stratégiques). L’ennemi a envahi nos foyers, nos vies, … il nous entoure d’habitats et de quartiers où cohabitent des idéologies qui confrontent des gens sous des étiquettes de riches/pauvres, travailleurs/assistés sociaux,…
L’aménagement de nos villes est très révélateur.
Porteuses de leur propre histoire, les villes se massent autour des vieux clochers vertigineux qui imposent ainsi subtilement la soumission à la monarchie absolue, alliée à la résignation de la raison.
L’INFLUENCE DE L’ARCHITECTURE DES BÂTIMENTS et des villes. Les clochers des nombreuses églises qui survolent toutes les villes du monde entier tels des gratte ciels, rappellent à tous l’omniprésence du clergé et leurs font sentir combien ils sont surveillés par Dieu.
La voie déclive de l’enrichissement de la civilisation romaine avec comme seule morale LE PRESTIGE ET LE POUVOIR.
Les structures et l’architecture des Villes actuelles laissent plus que des traces de la volonté de dominer des groupes d’intérêts.
Une Ville est une structure politique organisée.
Auparavant, chaque ville avait son État et son despote. Aux seins de celles-ci se sont formées des alliances pour assimiler les autres. L’architecture des villes est un retour constant au passé, à l’Histoire, à l’adoration et à l’idéalisation des guerres. Inspirée des doctrines dogmatiques, la hiérarchie des villes conditionne les gens aux valeurs d’autrefois, car les monuments religieux dominent les villes. Que d’épaves laissées sur le chemin de la culture dans les rues de ces villes-de-la-rentabilité. Pouvons-nous établir un lien avec la structure des villes et le matriarcat : puisque l’intérêt de nos sociétés pour l’or, les diamants, les bijoux, les tissus luxueux, la soie, la dentelle, … tout cela n’est-il pas très féminin? Et quels ARCHITECTES EN SONT CONSCIENTS et nous protègent de cela?
Brève historique.
Rome fut pour des siècles la suprématie politique où toutes Villes devenaient aux services de cette unification des Empires Rois-Papes
Pour enrichir les rois. Autrefois, les travaux publics (constructions des routes, de monuments, de ports,…) étaient soumis à des adjudications qui étaient des actes de la puissance des monopoles et à l’impérialisme.
L’Économie d’il y a 2 300 ans, où les rois ont établi des routes, étaient pour piller et s’enrichir sans cesse. La multiplication des routes, des ponts, des ports, des aqueducs, … cette œuvre immense d’urbanisme a été, hélas, motivée par une ÉCONOMIE DE POUVOIR !
1er siècle Les soldats romains sont obligés de construire des routes pour établir leur domination et acheminer les fruits de leurs pillages… Aucune philanthropie dans la volonté de construire des routes et des Villes. Nos élites (militaires) gestionnaires adoptent le principe des grandes inégalités entre les humains, car ils les disent essentielles à la concurrence, à la compétition et au capitalisme. L’architecture militaire.
X1e siècle, en Angleterre, les mécanismes de la puissance militaire établirent un modèle de ville.
Ces Villes MENAÇANTES, endormeuses et paresseuses des promesses de structures d’ABONDANCES. Et ces quartiers humiliants avoisinants les quartiers riches.
Se rendre compte … Les effets dévastateurs du décors urbain sur nos mentalités. Les villes ont les formes des mentalités des Gens d’Affaires. …. Allons pour des aménagements autonomes et durables séculairement,
L’élite utilise le terme ‘’Mérite’’ comme prétexte pour avoir le droit de tout faire : d’exploiter, de s’élever au-dessus des autres. Ils utilisent les exclus, les marginalisés comme bouclier et pour se créer un emploi. C’est l’attitude des gagnants à l’égard des perdants comme s’il s’agissait de PIONS que l’on peut sacrifier à un intérêt supérieur. Pour quelles raisons, qui et comment nous amènent-on à nous affirmer dans la combativité, dans l’opposition et la recherche de l’obstacle, dans le mérite et l’effort?
Qui ont semé la rivalité entre nous et pourquoi? Sont-ce l’ Économie, l’École, les Médias, le militaire, le Capitalisme, les hiérarchies? «À quoi vous servent vos muscles, vos diplômes, vos Gouvernements, votre Science, votre santé… si vous ne savez pas vous aimer les uns les autres, ni partager» et que vous vous justifiez d’être meilleurs et de mériter plus que les autres !
Des populations dociles et serviles se fixent autour des mines grâce à des politiques de logements : c’est ainsi que des villes ont peu prises formes
Les premiers entrepreneurs étaient des femmes… elles vendaient leurs corps Ce n’est pas d’hier que des humains se prostituent, se vendent aux plus ofrants, trahissent les autres pour survivre, et jouent à «ceux qui n’ont pas le choix».
Elle est porteuse d’inadaptation, d’idéologies décadentes, de structures malsaines qui imprègnent dans les mentalités des idéologies et des obligations antifraternelles; elle façonne et ramène incessamment au passé.
La formation et le caractère des villes reste politique. Architecture militaire. Les gens sont malades de la bourgeoisie, de
VILLES MATRICIELLES. Ces villes MENAÇANTES qui ont les formes des mentalités des Gens d’Affaires, endormeuses et paresseuse des promesses de structures d’ABONDANCES.
Les dommages d’une culture architecturale fondée sur le Profit et le Pouvoir par le vol, le viol et l’assassinat collectif.
* Le choix des repères
* L’incrustation des décors historique
* Les stéréotypes architecturaux
* De cette mémoire structurale influençant, de cette métamorphose des stimuli de l’espace, de ces symboles qui conditionnent et destinés à mercantiliser et à rendre passifs, d’environnements avec ses valeurs bourgeoises anarchiques des flux économiques
* La ville, plus qu’un cadre : c’est un personnage autoritaire, une fourmilière, un catabolisme urbain
* C’est un monstre dominateur
* De ses rues assassines et du pas militaire et prolétaire, avec ses yeux clignotants qui vous rend paranoïaque.
L’Architecture pour asseoir le pouvoir des pilleurs. Les voies navales, les grandes routes et les voies ferrées étaient et sont encore destinées aux pilleurs des Richesses Naturelles.
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