« Lorsque les Gouvernements émettront de la nouvelle monnaie gratuitement (et en fonction d’assurer à tous un bon pouvoir d’achat suffisant) : il n’y aura plus de limite au Progrès, aux avantages de vivre en collectivité et, au véritable progrès humain », disait LINCOLN
Les arabes et les Juifs se font des prêts sans intérêts : mais nous, populations qui se croyons supérieures aux pays religieux, nous ne sommes pas capables de cela, et on se vante de s’endetter les uns les autres.
Les banques endetteuses. « Le prêt est de nature essentiellement gratuit » dit le Pape Benoît X1V du temps où l’Église dénonçait le prêt à intérêt.
D’abord, nos Ressources Naturelles sont l’ARGENT NATUREL
L’OR n’est pas la monnaie internationale, ni le Dollar mais le BOIS, les TERRES, nos LACS, ses Aliments Naturels (BLEUETS, FRAMBOISES…) …. : voilà cette fameuse ‘’Monnaie naturelle’’ et qui est le BIEN DE TOUS
Et puis, de l'ARGENT nos États sont capables et ont le devoir d’en fabriquer selon
Nous avons tous la responsabilité de nous concrétiser (pour nous et nos descendants) une Société fondée sur les Valeurs Fraternelles; et notre premier vrai travail collectif est d'ÉLIMINER LA PAUVRETÉ et non plus les pauvres générés par nos mentalités élitiste
La Politique et l'Économie sont les reflets de nos habitudes de vie et d'alimentation: c'est un fait..... APPRENDRE EN S'AMUSANT ....
En effet, le 4 juin 1963 , le Président Kennedy signait l’Executive Order n° 11110 (4) par lequel le gouvernement retrouvait un pouvoir inscrit dans la Constitution, celui de créer sa monnaie sans passer par la Réserve Federale. Cette nouvelle monnaie, gagée sur les réserves d’or et d’argent du Trésor, rappelait les greenbacks et le coup de force du Président Lincoln.
Un dollar de 1963, “KENNEDY GREENBACK”
Le Président Kennedy fit imprimer 4,3 milliards de billets de 1, 2, 5, 10, 20 et 100 dollars. En 1994 il restait l’équivalent de 284,125,895 dollars en circulation aux Etats-Unis , détenus, probablement par des collectionneurs (source: The 1995 World Almanac).
Les conséquences de l’Executive Order n° 11110 étaient énormes. En effet, d’un trait de plume John Fitzgerald Kennedy était en passe de mettre hors jeu tout le pouvoir que les banques privées de la FED s’étaient arrogé depuis 1816 et qu’elles détenaient officiellement depuis 1913. Car si, dans un premier temps, les deux monnaies auraient circulé parallèlement, la monnaie d’Etat, gagée sur les réserves d’argent, aurait fini par terrasser la monnaie créée ex-nihilo par les banquiers. Cette nouvelle monnaie aurait considérablement diminué l’endettement de l’Etat, puisqu’elle éliminait le paiement des intérêts.
Les 26 volumes du rapport Warren n’ont pas réussi à apporter une explication crédible à l’assassinat du Président Kennedy à Dallas le 26 novembre 1963, cinq mois après sa réforme monétaire. Il n’est nul besoin d’être un ” complotiste ” primaire ou secondaire pour n’accorder qu’un crédit poli à la thèse officielle, non pas seulement à cause de l’analyse des conditions de l’exécution, mais parce que le fait que tous les témoins oculaires de l’événement soient morts dans les deux ans ; que la disparition ou l’élimination de 400 personnes en relations même lointaines avec cet événement - y compris le personnel médical de l’hôpital Parkow où Kennedy a été admis, du portier au personnel médical, ainsi que des proches du tireur accusé, Lee Harvey Oswald - que tous ces événements soient le fruit du hasard relève d’un pourcentage de probabilités si infinitésimal qu’il est proche du zéro absolu. Le calcul des probabilités devient un juge plus efficace que n’importe quelle vérité officielle.
De puissants comploteurs ont donc sévi, y compris longtemps encore après le crime initial. Parmi les innombrables pistes avancées par les uns et par les autres, la piste monétaire était évidemment tentante . Elle fut relativement peu explorée au début de l’enquête. Cependant beaucoup la tiennent pour d’autant plus avérée qu’ils rapportent une phrase du père du Président, Joseph Kennedy, lorsqu’il apprit la décision de réforme monétaire de son fils : “Si tu le fais, ils te tueront“.
Le Président John Fitzgerald Kennedy
Le message semble, une nouvelle fois avoir été reçu cinq sur cinq par le Vice-Président Lyndon B. Johnson, devenu Président par la grâce de cet assassinat. Comme son homonyme Andrew Johnson un siècle auparavant, et avec une célérité particulièrement remarquable, il suspendit la décision monétaire prise le 4 juin 1963 par le Président assassiné alors que le cadavre de ce dernier n’était pas encore froid.
“L’ordre exécutif 11110 a été abrogé par le Président Lyndon Baines Johnson , trente-sixième président des Etats-Unis - de 1963 à 1969 - alors qu’il se trouvait dans l’avion présidentiel AirForce One, entre Dallas et Washington , le jour même de l’assassinat du Président Kennedy ” écrivait un chroniqueur. Cette affirmation n’est pas exacte : le décret présidentiel n’a jamais été officiellement abrogé, mais son application fut suspendue . Fut abrogée l’autorisation d’imprimer de nouveaux billets et de frapper de nouvelles pièces, si bien que l’Executive Order n° 11110 demeure officiellement en vigueur … dans la stratosphère.
Cet assassinat était peut-être un avertissement aux futurs Présidents qui auraient voulu emboîter le pas à Abraham Lincoln et à Jahn Fitzgerald Kennedy et priver les banquiers de leur rente en éliminant le système de la monnaie-dette. Jahn Fitzgerald Kennedy aurait payé de sa vie cette provocation à la puissance de la finance internationale. Mais nous sommes là dans le domaine des innombrables coïncidences troublantes qui ont jalonné la vie de ce Président même si la célérité de la décision du Président Johnson donne du crédit à cette supposition. Eustace Mullins rappelle que le Président Abraham Garfield avait lui aussi été assassiné le 2 juillet 1881 après avoir fait une déclaration sur les problèmes de la monnaie. (5) Que de coïncidences!
Depuis le Président Kennedy, aucun successeur ne s’est avisé d’apporter la moindre réforme au fonctionnement de la FED.
De plus, des Israéliens s’étant félicité de ce que l’élimination de J.F. Kennedy ait laissé le champ libre à l’accession d’Israël au statut de puissance nucléaire, cette conséquence s’est métamorphosée en cause pour certains.
En effet, le journal israélien Ha’aretz 5 février 1999 écrivait, dans sa critique de l’ouvrage d’Avner Cohen, “Israel et la bombe: “L’assassinat du Président américain John F. Kennedy mit un terme brutal à la forte pression de l’administration des Etats-Unis sur le gouvernement d’Israël afin de l’amener à interrompre son programme nucléaire… ” L’auteur ajoute que ” si Kennedy était resté vivant, il est douteux qu’Israël aurait aujourd’hui une défense nucléaire.” Le Président Kennedy avait, en effet, fermement annoncé au Premier Ministre israélien David Ben Gourion qu’en aucun cas il n’accepterait qu’Israël devînt une puissance nucléaire.
Peut-être faudra-t-il encore vingt-six autres volumes d’enquête pour éclaircir cette énigme.
Les Articles 7A, 7B et
l’Article 7A : Le Droit à
Ceci est un pied de nez au système bancaire qui nous fait croire que c’est l’argent qui mène tout.
Sachez
Ce n’est pas l’argent mais nos Ressources Naturelles qui fait tout rouler, et si l’ensemble de
L’ARGENT EST RENDU POSSIBLE SEULEMENT PAR LE BIEN COMMUN et qui est l’Héritage de tous sans exception à 50% sur le Profit Collectif également distribué.
La richesse c’est nous qui l’avons, c’est à nous de l’exploiter et ne plus la donner aux autres en croyant que leur argent peut l’acheter : démêlons-nous au plus sacrant! Mais, si on continue de donner de l’importance à LEUR ARGENT, ils vont continuer d’acheter notre Bien Collectif et ainsi que nous-mêmes !
C’est par le fait qu’on croit en leur argent qu’ils réussissent à nous piller
La monnaie en tant qu'institution qui assure une vie décente à tous sans exception. « N’avez vous jamais recherché les racines de
« Il ne saurait y avoir de vie sociale; il n'y aurait pas davantage d'échange sans égalité, ni d'égalité sans commune mesure », ARISTOTE, Éthique à Nicomaque
Il s'agit là de sa fonction la plus évidente, la monnaie met fin aux maux humains.
Les États du monde entier et leurs chefs sont préparés et mis en place par l’Establishment mondial militaire de
Mais d’abord il importe de savoir ceci :
Nos terres c’est de l’argent
Nos lacs aussi
Ils sont de la monnaie internationale et supérieure au dollar américain et à toutes formes d’argent.
Et les populations en sont propriétaires et bénéficiaires sur la moitié de tous les profits qui s’y réalisent
C’est par le fait qu’on croit en leur argent qu’ils réussissent à nous piller
« Lorsque les Gouvernements émettront de la nouvelle monnaie gratuitement (et en fonction d’assurer à tous un bon pouvoir d’achat suffisant) : il n’y aura plus de limite au Progrès, aux avantages de vivre en collectivité et, au véritable progrès humain », disait LINCOLN
Les arabes et les Juifs se font des prêts sans intérêts : mais nous, populations qui se croyons supérieures aux pays religieux, nous ne sommes pas capables de cela, et on se vante de s’endetter les uns les autres.
Les banques endetteuses. « Le prêt est de nature essentiellement gratuit » dit le Pape Benoît X1V du temps où l’Église dénonçait le prêt à intérêt.
L’OR n’est pas la monnaie internationale, ni le Dollar mais le BOIS, les TERRES,nos LACS, ses Aliments Naturels (BLEUETS, FRAMBOISES…) …. : voilà cette fameuses ‘’Monnaie naturelle’’ et qui est le BIEN DE TOUS. Alors, ne nous faisons pas leurrer avec l’OR par les Anglais qui tentent de faire croire à l’Humanité que seul leur OR vaut en ce monde : et ceci pour nous faire oublier que les Ressources Naturelles --- Biens de l’Humanité --- sont les seules valeurs naturelles et dons de
Et de toutes façons, les Anglais ont pris cet OR dans tous les Pays du Monde.
Si nos ancêtres on travaillé aussi forts, qu’ils ont défrichés et labourés des terres : c’est pour qu’on ne peine pas autant qu’eux. Cessons de réinventer la roue, et qu’elle nous serve maintenant à tous!
L'absence d'argent étatique n'implique pas l'absence de marché, le sel met en relation des offreurs et des demandeurs, il est un intermédiaire des échanges on ne peut donc parler de troc mais d'échanges sur un marché.
Des évidences ! Mais qui les connaît et les voit ?
Quand les États ont trop d’argent : ils inventent des guerres pour éviter de donner l’argent à leurs pauvres et pour maintenir leur systéme qui hiérarchisent des humains. Voilà à quoi ça sert des Armées!
Et ils vident aussi les coffres du Trésor Public en donnant nos Fonds Sociaux aux multinationales à coups de crédits et de privilèges fiscaux afin de dilapider nos surplus monétaires afin que jamais on pense à éliminer la pauvreté. 22-6-7. POUR MAINTENIR LEURS HIÉRARCHIES ET NE PAS DONNER DE L’ARGENT À LEURS PAUVRES : ILS FABRIQUENT GUERRES, CHAOS, DIVERSIONS ET NOUS ENDETTENT
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